QUAND J'AURAI 1001 ANS

Deux adolescents parlent de la vie. Deux adolescents à qui on a donné les clés de la vie éternelle. Aucun n'a la même vision de ce futur qui se compte en centaines d'années.

Si Milli se fantasme à moitié machine et se projette dans le futur sans un regard sur tout ce qu'il laisse derrière, Cendi tend à ne pas oublier une partie de son passé et à ne pas oublier ce qui pourrait disparaître durant cette éternité de vie.

Le Saviez-vous?
Le nouveau spectacle de Nathalie Papin, auteure lauréate du Grand Prix de Littérature dramatique Jeunesse Artcena 2016.

Auteur : Nathalie Papin
Artistes : Alice Benoit, Makiko Kawai, Basile Yawanké
Metteur en scène : Jérôme Wacquiez

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Théâtre 11 Gilgamesh-Belleville - Avigonon

LA MACHINE DE TURING

L'incroyable destin d'Alan Turing, mathématicien anglais qui a brisé le code secret de l'Enigma allemande pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il a construit une machine pensante qui se révèlera être le 1er ordinateur. Contrant au silence par les services secrets, il fut condamné pour homosexualité, avant de se suicider en croquant une pomme empoisonnée et rappelant étrangement un célèbre logo...

Auteur : Benoit Solès
Artistes : Benoit Solès, Amaury de Crayencour
Metteur en scène : Tristan Petitgirard


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Théâtre Actuel - Avignon

MADAME MACBETH

Madame Macbeth transporte sous la forme d'un opéra chinois, le drame de Shakespeare dans la période tourmentée qui agite la Chine  après la période de la chute de la dynastie Tang


La virtuose ZHUO PEILI interprète Madame Macbeth, devenue le personnage principal.

Après avoir sauvé son mari d'une embuscade, elle l'encourage à tuer son souverain pour accomplir la prophétie selon laquelle Macbeth sera roi. Mais son époux incapable d'accoplir son crime, c'est Madame %MAcbeth qui prend l'épée et se fait régicide, elle encore qui, comdamnée à vivre dans le traumatisme du crime, voit ses mains tâchées d'un sang impossible à nettoyer.

Dans cette adaptation, Madame MAcbeth nous donne à voir la richesse de l'opéra contonais et du théâtre shakespearien, tout en offrant au spectateur, une proposition théâtrale radicment nouvelle.

Artistes : Atelier de Zhuo Peili

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Théâtre des Corps Saints - Avignon

LES PULVERISES

La course effrénée au profit, la folle circulation des capitaux, le dérèglement du marché financier, nous les subissons comme de mauvais rêves.


Alexandra Badea raconte la solitude, la fragilité et l'intimité de quatre personnes, comme prises au hasard et étrangères les unes aux autres ; quatre vies anonymes parmi des millions que les rouages incontrôlables de la Grande Machine Financière " pulvérisent ". Une oeuvre radicale qui, à la manière de Georges Perec dans L'Augmentation, délaisse les canons du théâtre traditionnel, pour mieux éclairer la conscience de chacun sur ce qu'il est en train de vivre.

" Cette étrange pièce, dès la première lecture, nous a saisis par sa force, sa rapidité, son originalité. Sa forme même nous invite à explorer une autre manière d'aborder le théâtre. Nous voulons paradoxalement faire "voir" une parole fragmentée, déchirée qui circule entre quatre "individus divisés", cette parole lancinante en "crise" qui engourdit les têtes, qui transperce les corps. Nous ressentons la même urgence à donner à entendre cette pièce que celle qui a poussé Alexandra Badea à écrire comme on appelle une ambulance. "
Aurélia Guillet et Jacques Nichet

Auteur : Alexandra Badea
Artistes : Stéphane Facco, Agathe Molière
Metteur en scène : Jacques Nichet, Aurélia Guillet

Théâtre Présence Pasteur - Avignon


VIVE LA VIE

Vive la Vie ! 

Vive la Vie est un spectacle total qui mélange chant, danse, théâtre, cirque et musique.


Ce spectacle relate les transformations du mode de vie familial au cours du XXème siècle. Le but de ce spectacle est de redonner de l’histoire à nos régions, nous rappelant que nous sommes le résultat des combats et des évolutions de nos aïeux, que chaque pensée est le résultat d’une ancienne pensée, et que demain la pensée ne sera plus celle d’hier. Le monde est une énergie en mouvement vers l’avant qui ne peut ni reculer, ni s’arrêter.

Un spectacle qui commence dans cette société paysanne figée, avec ses règles et ses codes relationnels et vestimentaires. Petit à petit, la technologie bouleverse les habitudes et les certitudes. Grâce notamment à l'arrivée de l'électricité, de nouveaux modes de penser apparaissent.

Cie Interface
Création Festival d'Avignon 2018

Conception et mise en scène : André Pignat et Géraldine Lonfat
Musique originale : André Pignat et Johanna Rittiner-Sermier
Chorégraphie : Géraldine Lonfat

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Théâtre du Balcon - Avignon

L'AVALEE DES AVALES

Une quête d’amour absolu
Bérénice, jeune ado, tente d’exister dans ce monde des adultes qui la révolte. Un hymne à la liberté, une œuvre iconoclaste, écrite dans une langue explosive et poétique, qui propulsa l’auteur québécois, Réjean Ducharme, au firmament de la littérature.


« La petite Bérénice que tout avale, demeure l’héroïne phare de l’œuvre de Ducharme, dès ce premier roman, il nous livre sans concession des images à la puissance dévastatrice, un langage au souffle ravageur et des personnages écorchés vifs dont la pudeur maladive accentuent l’authenticité.
Sa langue ne coule pas de source ; elle bégaie, secoue, cogne dur, invente ses idiomes, frappe le mur de la logique et nous atteint comme de véritables chocs électriques, il faut la traduire en faisant voir ses sonorités et entendre ses couleurs. »

L’opposition à la collectivité, la religion, la famille, la quête d’identité et d’autonomie sont au cœur de la démarche de Bérénice qui chevauche ses rêves et s’agrippe à son enfance pour mieux tenir à distance les petitesses humaines.  Rien ici ne laisse indifférent et le travail d’adaptation et de mise en scène de Lorraine Pintal sert avec force et beauté l’authentique génie de l’auteur.

De Réjean Ducharme
Direction artistique Lorraine Pintal
Avec : Benoît Landry, Sarah Laurendeau, Louise Marleau
Production Théâtre du Nouveau Monde (Montréal) 

Théâtre du Petit Louvre - Avignon

UNE SAISON EN ENFER

La voix de J-Q. Châtelain monte en puissance au gré de cette plongée terrifiante dans l'intimité d'un homme qui se met a nu, qui fouaille son âme
Arthur Rimbaud rédige ce recueil de poèmes en 1873, dans une période troublée de sa vie, alors que son amant Verlaine est en prison pour avoir tiré sur lui, et qu'il retourne dans la ferme familiale. " Une Saison en Enfer " nous plonge dans les entrailles d'un homme damné par " la liqueur non taxée de la fabrique de Satan ". De cette fusion d'une vie et d'une oeuvre, dont la conquête du sens est le combustible, tout lecteur de Rimbaud garde à jamais dans son esprit la brûlure.
C'est cette expérience intime du texte que le metteur en scène Ulysse di Gregorio a voulu rendre sur scène. Comme espace de création, il choisit le Purgatoire, en référence à la Divine Comédie de Dante. La voix de Jean-Quentin Châtelain, donne corps à cette expérience, en incarnant le mouvement, le rythme et les aspirations de cette oeuvre exemplaire.

Auteur : Arthur Rimbaud
Artistes : Jean-Quentin Chatelain
Metteur en scène : Ulysse Di Gregorio

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Théâtre des Halles - Avignon

SHERLOCK HOLMES

Venez enquêter avec Sherlock Holmes et le docteur Watson sur la mort de Charles Mac Carthy...

De Arthur Conan Doyle

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Théâtre de l'Arrache Coeur - Avignon

PETITE FLEUR 

Entre James Thierrée et Gene Kelly, Aurélien Kairo danse un théâtre visuel et burlesque créé autour d’un vocabulaire prenant sa source dans le Hip-Hop.

TELERAMA " On retrouve tout l'art du mime, plein de malice et d'émotion "

LYON CAPITAL " sensibilité et pleins de poésie ! "

LE MONDE " Aurélien Kairo ... chargé de faire le ménage dans la loge d’une chanteuse... pendant que celle-ci donne son récital. Dans Petite fleur, son corps laisse libre cours à son imagination. Ce spectacle est mis en scène par Patrice Thibaud, un ancien membre de la compagnie des Deschiens "

L’idée générale :
Un agent d’entretien nettoie la loge d’une artiste de cabaret et pendant que les
numéros s’enchainent sur le plateau, il se laisse prendre par la musique et laisse libre cours à son imagination.

« Plus qu’un exercice de style, le solo est, selon moi, la plus singulière des propositions artistiques. Avec le corps, on ne triche pas. C’est toujours une partie de sa propre histoire que l’on associe au personnage ».
Aurélien Kairo

Metteur en scène : Patrice Thibaud
Chorégraphe : Aurélien Kairo
Interprète(s) : Aurélien Kairo

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Théâtre du Collège de la Salle - Avignon

MASTER CLASS NIJINSKY

Créée en 2017, « Master Class Nijinski », pièce chorégraphique pour quatre danseurs et un comédien, est, bien plus qu’un simple hommage à Vaslav Nijinski, une évocation poétique de son génie artistique : un style à l’empreinte humaniste qui fit scandale en son temps, parce qu’il entendait faire de l’expressivité du mouvement, une vraie révolution artistique.

A cet égard, il était sans doute naturel que Faizal Zeghoudi, dont l’écriture chorégraphique traduit elle-même cette exigence du geste qui « fait sens », dans une alliance subtile de l’intime et du sublime où la recherche de l’esthétisme repose toujours sur la force d’émotion et la puissance d’évocation qu’elle recèle, se reconnaisse parfaitement en lui. C’est à l’ancien danseur, désormais comédien, Bernard Pisani, que revient l’idée formidable d’avoir pensé associer à l’ombre portée de Nijinski, l’écriture chorégraphique très sensuelle et incarnée de Faizal Zeghoudi.

Loin de vouloir retracer la vie de ce créateur d’exception, le chorégraphe s’empare ici de son sujet sans se laisser brider par la dimension du mythe qui aurait pu peser sur lui : avec la grande liberté de ton, de forme et de mouvements que n’aurait sans doute pas reniée Nijinski de son vivant.

« Master Class Nijinski »revisite quelques pièces majeures du répertoire de Nijinski, recréées à l’aune d’un imaginaire tissé de références empruntées aux deux rives de la méditerranée, d’un point de vue très actuel, d’une sensibilité touchante et singulière.

Dans cette master class fantasmée, c’est donc un Nijinski vieillissant, évidemment amoureux, qui dans le poignant monologue écrit par la dramaturge Marie-Christine Mazzola, questionne son destin torturé, s’interroge sur le sens de sa création et s’affronte aux fantômes du passé, quatre talentueux et magnifiques danseurs qui incarnent sur scène, la sensualité et les fulgurances de sa jeunesse.

Ainsi Faizal Zeghoudi a-t-il réussi son pari, selon ses propres mots, de « convoquer l’esprit de Nijinski pour nous donner à voir, ce qu’il pouvais ressentir lorsqu’il dansait », par la seule grâce d’une partition chorégraphique pareille à nulle autre et pourtant traversée du souffle passionné et des déchirures bouleversantes du Dieu de la danse.

Interprètes / Intervenants

Metteur en scène : Faizal Zeghoudi
Interprète(s) : Bernard Pisani, Assan Beyeck-Rifoe, Anthony Berdal, Simone Giancola, Nadya Larina
Compagnie Faizal Zeghoudi

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Théâtre du Collège de la Salle - Avignon

LE FABULEUX VOYAGE DU PETIT ARCHITECTE

C’est l’histoire d’un enfant dans le ventre de sa maman attendant avec impatience de voir enfin le jour. À la manière d’un architecte de l’imaginaire, il se construira un univers merveilleux lui permettant d’appréhender le monde extérieur avec humour et fantaisies.

Ce petit être en devenir, nous désoriente dans un monde où la curiosité est propice au jeu, où la créativité est une mécanique invincible.
Spectacle sans parole pour les petits comme les grands, où le mime, la danse et la musique live s’enlacent avec poésie.

Collectif ARpiS / Coréalisation : Théâtre des Barriques
Co-production et soutien : INCONTRO ARTEFACT, Théâtre de l’Espace Tonkin de Villeurbanne.

Théâtre des Barriques - Avignon

MADAME FOUQUET

« DRAME HISTORIQUE. UNE PAGE DE L’HISTOIRE, UN PORTRAIT DE FEMME EXCEPTIONNELLE. »

 

« Nicolas Fouquet, le brillant Surintendant du jeune roi Louis XIV, qui doit fournir au royaume en faillite l’argent lui faisant défaut, est accusé de malversations.

Sa femme, Marie Madeleine, voit avec intelligence, tant les manoeuvres de Colbert que les défauts et les excès de son mari dont elle était passionnément amoureuse. Jusqu’à cette fête trop extravagante au château de Vaux-le-Vicomte, un 17 août 1661.

Louis XIV pensa alors qu’un châtiment s’imposait… ».

Metteur en scène : Daniel Besse
Distribution : Anne Richard et Daniel Besse